Torrides désirs nocturnes...

Je me tourne vers toi au milieu de la nuit.

Mon nez niché contre ta nuque, j’hume dans un demi-sommeil le doux parfum de tes cheveux.

À moitié plongé dans le sommeil, ma main saisi tendrement tes cheveux et dégage ta nuque afin que je puisse y déposer tout doucement mes lèvres.

Je t’embrasse tendrement, amoureusement.

Ma bouche glisse doucement vers ton cou dont je suis doucement la courbe, en explorant chaque centimètre carré.

Ma main gauche passe délicatement contre ton bras gauche et vient saisir ton épaule, comme j’aime tant le faire.

Ma bouche continue son exploration, passant de ton cou jusqu’au creux à la naissance de ton épaule, puis glisse, par de tendres bisous, tout le long de cette épaule que j’aime tant.

Pendant que je t’embrasse de la sorte, je me redresse légèrement, ne cessant pour autant mes baisers et une fois placé comme je le désire, je viens caresser tendrement la base de ta nuque du bout des doigts de la main droite.

Tu apprécies le traitement et te blotties un peu plus contre moi.

À demi-éveillée, tu te tournes légèrement vers moi pour m’embrasser.

Je dépose un léger baiser sur ta bouche, ne voulant pas te réveiller trop vite.

Je profite de ton léger mouvement pour me caler un peu mieux contre ton corps.

Je reprends de plus belle ma douce exploration de ton cou et de ton épaule, déplaçant ta fine bretelle au gré de mes baisers.

Ma main gauche glisse doucement de ton épaule à ton sein gauche que je saisis délicatement à travers ta nuisette.

Mes baisers deviennent plus intenses, plus passionnés et ta respiration plus saccadée.

Ma main caresse délicatement ton sein, le frôlant à peine, mon sexe devenant de plus en plus dur contre ton dos.

Ma main quitte momentanément ce sein pour glisser le long de ton flanc, suivant les courbes de ton corps.

Elle atteint ta hanche que j’aime tant, en suit le tracé, la caressant tendrement.

Ma bouche remonte dans ton cou et vient se promener le long de ta mâchoire, alternant tendres baisers et légers mordillements.

Tu apprécies le doux traitement que je t’inflige et commence à onduler doucement contre mon corps, le creux de tes reins venant presser contre mon sexe.

Ces mouvements m’excitent et je t’embrasse à pleine bouche tout en saisissant plus fermement ta hanche, mes doigts s’enfonçant dans ta chair.

J’en profite pour te faire basculer sur le dos.

Ma bouche quitte la tienne afin d’embrasser le haut de tes seins, dénudés.

Je promène délicatement mes lèvres de cette zone à ton cou, alternant baisers avec de doux frôlements, te touchant à peine de ma bouche.

Ma main gauche a repris sa promenade sur la partie inférieure de ton sublime corps, caressant tendrement ta hanche et le bas de ton ventre.

Puis elle remonte sous ta nuisette afin de sentir, enfin, la douce chaleur de ton sein.

Je promène doucement la pulpe de mes doigts le long de la courbe de ce dernier.

Passe délicatement ma main en-dessous puis le presse tendrement, à pleine main.

Ma main droite saisit le bas de ta nuisette afin de la remonter.

Ta poitrine à présent nue et offerte à mes caresses, ma bouche quitte ton cou afin de venir goûter ton téton gauche.

Ma main gauche ne reste pas inactive et s’en à la rencontre de ton sein droit.

Je lui réserve, à son tour, le même traitement qu’à son homologue droit, le soupesant tendrement, le caressant doucement.

Pendant ce temps, ma bouche se délecte de ton téton. Après avoir promené lentement ma langue tout autour, je le titille du bout de cette dernière avant de finalement le gober doucement.

J’humecte alors mon index et imprime un mouvement rotatif du bout de ce dernier sur le téton dont ma bouche ne s’occupe pas.

Débute alors un ballet synchronisé entre ma langue et mon doigt, chacun stimulant son téton respectif.

Tes soupirs m’indiquent que tu apprécies ces caresses. Néanmoins, je décide alors de te jouer la version machiavélique de ce ballet : alors que je frôle tendrement du bout du doigt ton téton droit, j’enserre le gauche entre mes dents et, mordant ni trop faiblement, ni trop fort, je le titille du bout de la langue.

Je desserre alors l’étau de mes dents et tète doucement le téton tendrement meurtri alors que mon pouce et mon index saisissent son jumeau et le vrillent légèrement tout en le tiraillant.

Le petit cri de plaisir que tu lâches me confirme avoir atteint l’effet escompté.

Ma bouche abandonne alors ta poitrine pour venir s’occuper de nouveau de la tienne que j’embrasse passionnément.

Ta façon de répondre à mes baisers, englobant mes lèvres d’une manière si sensuelle me confirme l’état avancé de ton émoi.

Ceci est confirmé par le frisson qui te parcourt durant la descente de ma main gauche vers ton bas ventre.

Ton bassin ondule, appelle mes caresses sur la partie la plus intime de ton corps. Mes doigts caressent ton ventre juste au-dessus de ton pubis. Ils se glissent doucement sous l’élastique de ta culotte pour frôler la douce peau de ton pubis tout lisse.

Tu soupires et ton regard réclame que je te caresse enfin…

Mais, jugeant cela précipité, je retire mes doigts de leur zone d’investigation.

Je me redresse alors et me place à genou auprès de ta hanche.

Dans cette position, l’utilisation de mes deux mains est facilitée et j’en profite pour promener mes doigts de ton pubis à ta poitrine, par de doux et lents aller et retours entre ces 2 zones sensibles.

Ta main gauche se glisse sous mon short et trouve mon sexe.

Tu le parcours du bout des doigts, de sa base jusqu’au prépuce puis tes doigts descendent jusqu’à mes bourses que tu caresses doucement, continuent en effleurant mon périnée, ce qui m’arrache un « aaahh » de plaisir plus soufflé qu’exprimé puis remontent jusqu’en haut de ma verge si fortement gonflée de désir.

Je décide de me débarrasser de ce tissu désormais superflu. Je commence par ta nuisette que je t’ôte doucement tout en embrassant tendrement ta poitrine.

En passant ta tête et au moment de retirer tes bras de ce vêtement si léger, une idée me traverse l’esprit et je m’empresse de la mettre en pratique : Je laisse le tissu autour de tes poignets et, croisant le tissu et le repassant autour de tes mainss, j’enserre ces dernières dans ce lien de satin.

Tes mains ainsi liées au-dessus de ta tête, tu es désormais à ma merci.

Je redescends doucement, promenant ma bouche et mes lèvres sur ton corps et atteint le dernier morceau de tissu cachant recouvrant encore ta peau.

Mais, décidé à faire durer le plaisir, je ne te le retire pas encore.

Au lieu de cela, je le descends légèrement afin de découvrir la partie supérieure de ton pubis que j’embrasse tendrement.

Les ondulations de ton bassin et tes soupirs me disent que tu désires bien plus, mais tu devras encore attendre…

Ma bouche descend le long de ton aine et j’embrasse alors l’intérieur de ta cuisse que je visite doucement.

Puis, je décide que l’autre cuisse est jalouse et la rejoint en passant ma bouche devant ton sexe, le frôlant sans le toucher.

J’en embrasse alors l’intérieur et remonte le long de l’aine puis je saisis l’élastique de ta culotte entre mes dents et commence à te l’ôter. Mes dents ne suffisant pas, je m’aide de mes mains et cet ultime morceau de textile est à présent ôté.

Je me retrouve alors face à ton joli sexe nu. Je reprends mon pèlerinage et embrasse à nouveau ton pubis, tes aines et l’intérieur de tes cuisses évitant soigneusement ton sexe que je ne fais qu’effleurer.

Je remonte de nouveau pour t’embrasser. Ton regard brillant de désir me dit que tu n’en peux plus d’attendre mais que tu apprécies aussi cette douce torture.

J’embrasse de nouveau ton cou pendant que mes mains redescendent de nouveau vagabonder du côté de ton entrecuisse.

Mes doigts frôlent ton pubis, l’intérieur de tes cuisses, passent devant ton sexe, ne le touchant pas encore.

Ton bassin ondule de plus en plus, réclamant des caresses plus directes. Je décide de céder un peu à tes désirs et passe le bout de mon majeur sur la vague de tes lèvres intimes, les touchant à peine.

Cette caresse t’arrache un soupir. Je t’embrasse de plus belle et pose ma main entière sur ton sexe.

Je le sens palpiter de désir, je sens l’humidité déjà bien présente.

Je redescends m’occuper de ton téton pendant que majeur gauche remonte pour entamer sa danse sur ton clitoris.

Je le frôle, le presse légèrement, tourne tout autour et le titille.

Pour accentuer la sensation, je descends au creux de tes lèvres. Elle s’ouvre sous la simple pression de mon doigt et j’y recueille le résultat de mes caresses.

Le doigt ainsi humidifié, je reprends mes caresses sur ton petit bouton sensible.

Le plaisir en est décuplé, tes halètements de plaisirs s’intensifient et tu ondules de plus en plus.

Je cesse mes caresses pour pincer légèrement ton clitoris entre tes lèvres.

Pendant tout ce temps, je ne te quitte pas du regard et ta bouche entrouverte me dit clairement ce que tu attends de moi.

Je viens alors me placer à genou près de ta bouche. Tes lèvres trouvent rapidement mon gland, le lèchent, le suçotent. Tu passes ta bouche tout le long de ma hampe, remonte et me prend en bouche.

Dans le même temps, j’accentue de mon côté mes caresses sur ton petit bouton, les faisant plus pressantes.

J’introduis sans crier gare un doigt dans ton intimité si trempée de désir.

Je prends alors possession de ton petit minou, l’emprisonnant de ma main, l’index en toi, tout en appréciant fortement ta douce et délicieuse caresse buccale.

Mais, c’en est assez… je me retire de ta bouche et descends me placer entre tes cuisses.

Je commence par embrasser ton pubis, ton aine, l’intérieur de tes cuisses que je mordille légèrement.

N’y tenant moi-même plus, je pose délicatement ma bouche sur tes douces lèvres.

J’adore le contact si doux et la souplesse ta peau à cet endroit.

J’aspire tes lèvres, les déguste. Je passe ma langue sur ta fente ce qui a pour effet d’ouvrir ton petit sexe si excité.

Après avoir goûté brièvement ton intimité, je remonte ma langue vers ton petit bouton.

Je le titille de la pointe de ma langue, pressant plus ou moins fortement au gré de tes réactions.

J’y plaque ma bouche et l’aspire et le suçote. Le plaisir devient si intense que tu ne peux résister à l’envie de libérer tes mains liées de façon à ce que tu puisses le faire.

Tes doigts saisissent mes cheveux, me caressent, plaquent ma bouche contre ton sexe qui ondule sous cette caresse.

Ma main gauche a retrouvé ton sein. Mon index et mon pouce pincent légèrement ton téton, le tire, le vrille.

Tu ondules de plus en plus, je redescends mes mains afin de les passer sous tes fesses.

Mes bras passés sous ton postérieur, mes mains rejoignent tes hanches que je maintiens fortement.

Ainsi contrainte, tu ne peux plus onduler à ta guise, ni chercher ou échapper à mes caresses.

Je te mange alors intensément ton intimité, faisant monter ton plaisir.

Je relâche mon étreinte, et introduit 2 doigts en toi pendant que je stimule doucement ton clitoris du bout de la langue.

Te sentant au bord de l’orgasme, je me redresse, me place entre tes cuisses que j’écarte tendrement mais fermement et vient me placer à l’entrée de ton sexe à présent totalement trempé.

Ton regard me dit que tu désires plus que tout sentir mon sexe si gonflé de désir au fond de toi.

Mais il te faudra attendre encore un peu. Je m’approche mais au lieu de te pénétrer, je frotte mon gland contre tes lèvres pour le lubrifier puis remonte le frotter contre ton clitoris.

Cette caresse achève ton désir, tu n’en peux plus, réclames que je te prenne.

Je place alors mon gland contre tes lèvres qui s’écartent d’une simple pression.

Je reste là, redressé, mon gland seul entré en toi. Tes ondulations réclament une pénétration bien plus profonde.

Je ne veux pas te torturer plus longtemps, je saisis tes hanches, prend un léger recul d'élan et…

Je me réveille, essoufflé, excité… Le sexe dur de désir, le short de pyjama humide d’excitation.

Tu dors profondément auprès de moi, ne te doutant sûrement pas du rêve torride que je viens d’interrompre…

Encore 15 jours…